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Story of two hearts made to never be together. † Levanna.

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Aylina T. Torres
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MessageSujet: Story of two hearts made to never be together. † Levanna. Story of two hearts made to never be together. † Levanna.  EmptyDim 30 Aoû - 0:01

Lewinsky.





« ✣ Levanna Theia Lewinsky »

Je suis un demi-déesse. ❤

Ma vie, en bref.
✣ Levanna, Theia.
✣ Lewinsky.
✣ Lev'.
✣ En plein milieu de l'empire romain, dans une petite maison de Rome.
✣ Disons simplement vingt-et-un ans.
✣ C'est à dire que… Voilà.
✣ Neptune.
✣ Romaine.
✣ Phobie.
✣ Historienne, professeur d'Histoire, et chercheuse en archéologie.
✣ Un arc et des flèches ainsi qu'une petite dague, et le tout en argent.
✣ Ambroisie et Nectar
✣ Demi-Déesse, ancienne chasseresse et lieutenante d'Artémis.
✣ Cara Delevingne.













Passes ta souris sur l'image !

You see there's no real Ending ~ citation.
✣ Mon existence est presque aussi longue que l'est l'histoire de Rome. J'ai vu et j'ai connu bien des personnes, j'ai eu le temps de découvrir bien des choses, et j'ai eu le privilège d'assister à des évènements que personne ne verra jamais plus. J'ai eu le temps d'apprendre plus de choses que vous n'apprendrez jamais, et pourtant, j'ai l'impression de ne rien savoir. Ma vie m'échappe sans cesse, et avant que mes paupières s'ouvrent, j'ai tout perdu. A mes yeux, l'histoire n'est qu'un éternel recommencement, et nous ne sommes que des pions dans la volonté des dieux.


SilverQuil.




Derrière l'écran. 
~ citation.
✣ Ce que vous voulez sur vous ! Ex turba vero imae sortis et paupertinae in tabernis aliqui pernoctant vinariis, non nulli velariis umbraculorum theatralium latent, quae Campanam imitatus lasciviam Catulus in aedilitate sua suspendit omnium primus; aut pugnaciter aleis certant turpi sono fragosis naribus introrsum reducto spiritu concrepantes; aut quod est studiorum omnium maximum ab ortu lucis ad vesperam sole fatiscunt vel pluviis, per minutias aurigarum equorumque praecipua vel delicta scrutantes.


Dernière édition par Levanna T. Lewinsky le Mer 2 Déc - 13:50, édité 13 fois
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My Story



Début de l'histoire ici.


Nom du Chapitre. ~ citation ou autre.

Et puis soudainement, plus rien. Le silence. Elle ferma les yeux. « Le ciel bénisse nos enfants. »  Ils savent tout les deux ce que cela signifie. Un de leurs enfants est un cadeau des dieux. L’un de leurs deux bébés sera un grand héros. Ils échangèrent un regard. « Augustus, notre fils, sera un grand héros, c’est un don des dieux, et nous irons leurs remettent un hommage  à leurs gloires assez grand pour qu’ils entendent notre reconnaissance infinie. » Le petit garçon du nom d’Augustus dormait paisiblement dans les bras de son père. La petite fille, elle, elle regardait sa mère. Les deux enfants ne se ressemblaient presque pas. Augustus avait des traits assez durs malgré son jeune âge et les cheveux noir comme son père, et les yeux marrons comme la terre. Sa soeur, elle, elle avait les traits plus fins, les yeux bleus comme l’Océan, et les cheveux blonds. « Et notre fille ? Quel nom portera-t-elle ? » Il finit signe de la main pour remettre ça à plus tard, elle ne l’intéressait pas vraiment. Après tout, cette petite fille n’avait rien de divin, et elle mourrait certainement avant la fin de l’hiver. « Nommes la comme tu l’entendras, je ne m’en préoccupe guère. » Et c’est ainsi qu’elle reçue le nom de Theia. Il ne pouvait être plus belle hommage aux dieux que de nommer sa fille selon le nom de celle qui a un jour donné sa vie en sacrifice pour la naissance de la Lune et de Diane. Augustus avait déjà deux frères et une soeur quand il vint au monde. L’ainée, Julia, avait quatre ans de plus, venait ensuite Jules, qui avait trois ans de plus, et enfin Gaius, qui lui avait seulement un an de plus. La maison était assez grande pour accueillir autant d’enfants, et Augustus n’avait jamais besoin de rien, il était toujours chouchouté, et il n’avait jamais besoin de demander pour avoir, ses parents lui offraient tous ce qu’ils pouvaient lui offrir. Ses autres frères n’avaient pas à se plaindre, ils avaient certes un peu moins, mais toujours beaucoup plus que Julia.  Augustus passait énormément avec chacun de ses frères et soeurs, mais le lien de complicité qu’il avait avec sa jumelle, il ne l’avait aucun des autres. Malgré le fait que Theia soit souvent laisser de côté, ils avaient une connexion qu’ils étaient les seuls à posséder, et Augustus aimait avoir ce petit secret qu’il ne partageait avec personne d’autre que sa jumelle. Et puis un jour, Augustus eut un accident. Il tomba dans les escaliers et se brisa les deux jambes. Pendant un très long moment, il ne pouvait plus bouger, et ses parents perdirent espoir en son destin de héros légendaire. La vie de famille devint moins attrayante pour lui, il n’y avait que Theia qui venait le voir à sa chambre, et qui lui tenait compagnie. Il n’avait plus tout ce qu’il voulait, et ses parents ne l’aidaient plus. Il était laissé encore plus seul que sa jumelle, et ça le tuait. La petite Theia, elle, ne supportait pas de voir son frère aussi triste, alors, un soir, à la tombé de la nuit, elle prit la route vers le temple, et déposa un sacrifice aux dieux avant de faire une prière pour les implorer d’aider son frère. Le soir même, elle ne rentra pas chez elle. Elle resta assise près de l’autel a prié jusqu’à ce que le sommeil l’emporte, et qu’elle se réveille au petit matin. Augustus, à son réveille, allait beaucoup mieux. Les dieux avaient entendu la prière de Theia, et ils avaient été clément avec son frère qui, pourtant, ne le méritait pas. A peine la petite fille fut-elle rentrée que déjà son père lui criait dessus pour son absence que son jumeau avait dénoncé. Et tout redevint comme avant. Augustus fut de nouveau le fils prodige de la famille, de part sa guérison miracle, et Theia ressembla dans l’oubli, mais cette fois, elle apprit que le lien qu’elle avait avec son frère, il était mauvais, très mauvais, pour elle. Plus tard, il vint s’excuser, il lui demanda d’oublier cet instant d’égarement qu’il avait eu, et qui, de plus, n’était sans conséquence. Theia sourit en hochant la tête, mais le mal était fait, et jamais elle ne l’oublierait, il était la cause de tout ça. Avec le temps, elle finit par pardonner à son frère, mais elle n’oublia jamais. Si elle vivait la vie qu’elle vivait, c’était uniquement de sa faute, car après son pardon une première fois, Augustus prit pour habitude d’accuser Theia à chaque fois qu’il faisait quelque chose de punissable ou que quelque chose le contrarier. Leurs parents commencèrent à croire que la petite fille faisait insulte aux dieux, et qu’ils les punaisaient, eux et leurs fils prodige, pour l’affront que sa vie faisait aux divinités, et la vie de Theia devint alors affreusement horrible.  Chaque soir, elle devait aller jusqu’au temple pour faire des sacrifices, et chaque matin, elle n’avait le droit ni à manger, ni à boire, avant qu’elle eut fini diverses prières aux dieux et autres incantations. Son calvaire dura ainsi de ses dix ans jusqu’à ses treize ans.

Nom du Chapitre. ~ citation ou autre.


Son coeur bat à tout rompre, elle n’a plus d’ici, elle est coincée. Elle essaye de fuir, elle essaye d’appeler au secours, mais rien n’y fait, rien ne changera, on l’a privé de toute sa vie. Elle n’est maintenant plus qu’une poupée de chiffon, elle agit à l’encontre de sa volonté sans pouvoir trouver la force de combattre le mal qui a prit possession d’elle. Elle lève les armes, et elle frappe les personnes qu’elle aimait hier encore. Ses yeux se remplissent de larmes, elle supplie, elle implore les dieux de l’aider, de la sauver, mais au fond d’elle, elle ne croit même plus vraiment en eux. Petit à petit, elle sombra dans la noirceur et les ténèbres que son âme avait si longtemps repoussé. Rien ne pouvait plus l’arrêter, et les larmes continuaient de couler le long de ses joues. Elle leva les armes une dernière fois, les cris, la peur, la panique, et une exposition géante. Elle avait servit d’allumette à un feu qui a détruit tout ce qu’elle avait passé tant de temps à construire. En très peu de temps, tous les réfugiés, demi-dieux, sorciers, ou créatures, avaient fuit ou avaient été fait prisonnier, et l’espoir avait disparu. Mais elle n’en avait pas conscience. Comment aurait-elle pu ? Elle venait d’être blessée mortellement. Elle mourrait petit à petit en voyant chacun de ses anciennes amies, chacune de ses anciennes soeurs fuyaient, la laissant une fois de plus derrière elles, et cette fois-ci, personne ne serait là pour la sauver. Et elles avaient sans doute raison. Elle voulait mourrir. Mais la mort aurait été un sort trop beau pour elle. Elle ne pouvait pas simplement disparaitre, non. Elle s’en voudrait tant de ne pas se faire pardonner. Enfin, peut-être pas pardonner, mais au moins, réussir à changer la donne, et aider à détruire ceux qui l’ont brisé. « Il était temps que tu ouvres les yeux. » Elle leva fébrilement sa tête vers le visage d’une femme au trait fin, mais sévère, une femme puissante. Elle tenta doucement de se relever, mais ses blessures étaient encore trop grande. « Inconsciente, tu me sers à rien. Je te laisse le choix, m’obéir ou mourrir. » Cette femme, elle la connaissait. Indirectement, elle savait. C’était cette femme qui parlait dans son esprit, cette femme qui l’avait poussé à tuer, cette femme qui était à l’origine de tout ça, de la chute des dieux. Cette femme était un danger, pour elle, et pour le reste du monde. Sa gorge la faisait souffrir. « De l’eau. » Un sourira mauvais se dessina sur le visage de la femme. Se fut la dernière chose qu’elle vit avant qu’on la plonge entièrement dans un bac d’eau. Elle paniqua. Elle allait se noyer, la sentence était maintenant irrévocable. Et pourtant, elle respirait. Elle respirait comme si elle était hors de l’eau. Et elle comprit enfin. Elle aussi, elle n’était pas une simple humaine. C’était elle, la fille d’un dieu, pas son frère. Le calme regagna son coeur. Elle avait maintenant la force de se battre et elle savait comment faire pour. Elle resta plonger dans l’eau presque une journée entière avant qu’on vienne la ressortir. Elle fit la morte. Ne bougeant plus, on l’a jeta au pied de la femme. « Dame Morgan, elle est morte. » Un homme tonna derrière elle. « Pathétique. » La femme, dénommée Morgan, ricana. Tout ça les amusait bien. « Faites savoir que Theia Dawson, lieutenante d’Artémis est morte. Ca calmera sans doute toutes ses petites rebelles stupides qui essayent de prendre d’assaut notre repère pour la libérer. » Morgan n’avait pas tord. Theia Dawson était belle et bien morte, mais seulement parce qu’elle venait de renaître. Quelqu’un partit de la pièce. Sans doute un homme selon les bruits de pas lourd et sonore. Elle s’apprêtât à se relever mais une lumière vive la frappa et tout devint noir d’un seul coup. Un ricanement, puis plus rien. Le silence absolue. Elle ne souffrait même plus : toutes douleurs avaient entièrement disparu. Elle n’était plus consciente de ce qui l’entourait. Elle n’aurait su dire si elle était encore vivante, ou morte, à vrai dire, dans son état, c’était presque la même chose.

Nom du Chapitre. ~ citation ou autre.


Ex turba vero imae sortis et paupertinae in tabernis aliqui pernoctant vinariis, non nulli velariis umbraculorum theatralium latent, quae Campanam imitatus lasciviam Catulus in aedilitate sua suspendit omnium primus; aut pugnaciter aleis certant turpi sono fragosis naribus introrsum reducto spiritu concrepantes; aut quod est studiorum omnium maximum ab ortu lucis ad vesperam sole fatiscunt vel pluviis, per minutias aurigarum equorumque praecipua vel delicta scrutantes. Paphius quin etiam et Cornelius senatores, ambo venenorum artibus pravis se polluisse confessi, eodem pronuntiante Maximino sunt interfecti. pari sorte etiam procurator monetae extinctus est. Sericum enim et Asbolium supra dictos, quoniam cum hortaretur passim nominare, quos vellent, adiecta religione firmarat, nullum igni vel ferro se puniri iussurum, plumbi validis ictibus interemit. et post hoe flammis Campensem aruspicem dedit, in negotio eius nullo sacramento constrictus. Excitavit hic ardor milites per municipia plurima, quae isdem conterminant, dispositos et castella, sed quisque serpentes latius pro viribus repellere moliens, nunc globis confertos, aliquotiens et dispersos multitudine superabatur ingenti, quae nata et educata inter editos recurvosque ambitus montium eos ut loca plana persultat et mollia, missilibus obvios eminus lacessens et ululatu truci perterrens.
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